La dimension psychologique est présente en permanence dans l’histoire d’une prise de poids, aussi bien dans son origine que dans ses conséquences.
Le stress, les angoisses
Stress, angoisses, dépression peuvent augmenter l’appétit et provoquer une prise de poids chez certaines personnes. Alors qu’elles peuvent diminuer la sensation de faim chez d’autres. De nombreuses personnes, stressées en permanence, mangent ce qui leur fait plaisir et ce qui les calme.
Le besoin de manger calme ainsi des angoisses. Vous, peut-être ?
Des chercheurs ont montré que le stress est un facteur important d’obésité. En cas de stress, l’hypothalamus, zone du cerveau, produirait une substance qui augmenterait la masse graisseuse.
Adopter une alimentation équilibrée est bien entendu fondamental pour perdre du poids mais avoir une vie moins stressante, apprendre à se détendre et faire du sport sont primordiaux pour que le régime se déroule le mieux possible.
Les autres causes psychologiques
Ne pas comprendre les raisons de sa prise de poids risque de faire échouer le régime.
En effet, dès l’arrêt du régime, les problèmes psychologiques n’étant pas réglés, l’envie de remanger ce qu’on aime reviendra immédiatement. Et bien sûr, les kilos perdus avec.
Situations poussant à trop manger :
- Colères
- Frustrations
- Insatisfaction
- Inhibition
- Mal dans sa peau
- Culpabilité
- Echecs à répétition (vie professionnelle, vie privée)…
L’histoire personnelle et notre enfance
La façon dont nous avons été nourris au cours de notre enfance peut parfois influer sur notre rapport à l’alimentation.
Ainsi un enfant à qui une maman a beaucoup donné à manger, en pensant qu’il sera « heureux de manger beaucoup », peut avoir plus tard, à l’âge adulte, un rapport compulsif vis à vis de la nourriture. Il mangera de grandes quantités pour se « faire plaisir ».
Si cette personne ne décrypte pas ce mécanisme avec un psychopraticien (nouvelle appelation pour psychothérapeute), elle éprouvera des difficultés à manger différement, à perdre ses mauvaises habitudes et à ne pas tolérer la frustration de moins manger. Et les régimes seront inefficaces. L’avis d’un psychopraticien peut alors être envisagé lorsqu’une personne souhaite maigrir.
28 mars 2013 at 20 h 19 min
bonsoir,
je pensais que vous alliez aborder la prise de poids sans augmentation de la prise alimentaire…..
je suis concernée et sur la plan somatique rien d’anormal sauf que , je mange de moins en moins et que je prends du poids et quand je parle de prendre du poids c’est pas rien et insupportable soit pour vous donner une réelle idée : plus de 30 kg en 3 mois !!!
zéro solution paraît il ! donc je m’affame pour ralentir cette prise de poids..
pour résumer les médocs, les bilans rien ne seraient mauvais d’où une idée qui m’oriente vers une je ne sais quoi « psy »….. et toujours sans réponse…
Béa