« Il s’appelle Pensouillard.

C’est un tout petit hamster. Vous le connaissez.

Il court dans une roulette, à l’intérieur de votre tête !

Certains jours, il court plus vite que les autres. »

Vous êtes un penseur excessif ?

Vous êtes sur la bonne voie pour le désastre…

  • Trop penser, c’est se laisser envahir par vos pensées négatives, répétitives ou inutiles. Qui vous empêchent de vivre pleinement le moment présent, de prendre des décisions, ou de vous sentir bien
  • trop penser, c’est aussi se couper de vos émotions, de votre intuition, et de son potentiel créatif
  • trop penser, c’est enfin se faire du mal, car cela génère du stress, de l’anxiété, de la dépression, ou encore des troubles du sommeil.

Comment arrêter ce surmenage mental ?

Au cabinet, face à un client avec un cognitif sur-développpé, je lui apprends des stratégies qui peuvent l’aider à mieux gérer ses pensées, et à retrouver un équilibre mental qui lui convient.

Voici quelques pistes à explorer :

  • Prenez conscience de votre tendance à trop penser. Observez vos pensées sans les juger, ni les suivre. Identifiez les situations, les personnes, ou les sujets qui déclenchent votre rumination mentale. Essayez de repérer les schémas de pensée négatifs, comme la généralisation, la dramatisation, ou le tout ou rien.
  • Remettez en question vos pensées. Ne les prenez pas pour des vérités absolues. Interrogez-vous sur leur origine, leur validité, leur utilité. Cherchez des preuves qui les contredisent, ou qui les nuancent. Reformulez-les de façon plus positive, réaliste, ou constructive.
  • Lâchez prise sur ce que vous ne pouvez pas contrôler. Acceptez que la vie comporte des incertitudes, des risques, et des imprévus. Ne cherchez pas à tout prévoir, à tout anticiper, à tout maîtriser. Faites confiance à votre capacité d’adaptation, à votre résilience.
  • Passez à l’action. Ne restez pas bloqué dans l’analyse, la réflexion, ou la planification. Faites le premier pas, même si vous n’êtes pas sûr du résultat. Fixez-vous des objectifs réalistes, et des étapes intermédiaires. Célébrez vos progrès, et apprenez de vos erreurs.
  • Vivez dans le présent. Ne vous laissez pas envahir par le passé, ni par le futur. Concentrez-vous sur ce que vous faites, sur ce que vous ressentez, sur ce qui vous entoure. Pratiquez la méditation de pleine conscience, qui consiste à porter son attention sur l’ici et maintenant, sans jugement, ni distraction. Méditez, respirez, relaxez-vous.
  • Exprimez vos pensées. Ne les gardez pas pour vous, ni les laissez tourner en boucle dans votre tête. Parlez-en à quelqu’un de confiance, qui pourra vous écouter, vous soutenir, ou vous conseiller. Ecrivez-les dans un journal, une lettre, ou un poème. Dessinez-les, chantez-les, dansez-les.
  • Distrayez-vous. Ne laissez pas vos pensées occuper tout votre espace mental. Faites des activités qui vous plaisent, qui vous détendent, qui vous stimulent. Lisez, regardez un film, écoutez de la musique, jouez à un jeu. Sortez, bougez, rencontrez des gens.

Qu’en pensez-vous ?

Vous pouvez apprendre à mieux gérer vos pensées, et à les utiliser à votre avantage. Je peux aussi vous aider en utilisant l’hypnose profonde, en m’intéressant alors aux causes profondes, ce qu’il y a derrière votre surmenage mental. L’important est de ne pas rester seul, ni de souffrir en silence. Vous méritez de vivre sereinement, et de vous épanouir pleinement.

Trop penser n’est pas une fatalité.

Pour ne plus subir la dictature de votre égo.

Parce que penser trop, c’est un choix.

Choisissez la Vie !

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂
Où est mon esprit, là, tout de suite ?
carpe diem

Jamais dans l’instant présent !
Toujours à ressasser le passé ou à penser à l’après…

« […] Lorsque nous nous concen­trons sur un ob­jet ma­té­riel, où qu’il se trouve, le seul fait d’y prê­ter at­ten­tion peut nous ame­ner à nous en­fon­cer in­vo­lon­tai­re­ment dans son his­toire.

Les néo­phytes doivent ap­prendre à glis­ser au ras de la ma­tière s’ils veulent qu’elle reste au ni­veau pré­cis du mo­ment.

Tran­pa­rence des choses, à tra­vers les­quelles brille le passé !
Il est par­ti­cu­liè­re­ment dif­fi­cile de ne pas cre­ver la sur­face des ob­jets don­nés par la na­ture ou fa­bri­qués par l’homme, ob­jets inertes par es­sence, mais que la vie, in­sou­ciante, use beau­coup.

Les néo­phytes s’en­foncent en fre­don­nant joyeu­se­ment et bien­tôt se dé­lectent avec ra­vis­se­ment pué­ril de l’his­toire de cette pierre-ci, de cette bruyère-là.

Je m ’ex­plique : un mince ver­nis de réa­lité im­mé­diate re­couvre la ma­tière, na­tu­relle ou fa­bri­quée, et qui­conque dé­sire de­meu­rer dans le pré­sent, avec le pré­sent, sur le pré­sent, doit prendre garde de n’en pas bri­ser la ten­sion su­per­fi­cielle.

Au­tre­ment, le fai­seur de mi­racles in­ex­pé­ri­menté cesse de mar­cher sur les eaux pour des­cendre de­bout parmi les pois­sons éba­his.[…] »

Ex­trait de La trans­pa­rence des choses de Vla­di­mir Na­bo­kov