addiction-dépendance


Nos vies sont remplies de technologie.

C’est à la fois une bénédiction et une malédiction.

Vous pouvez l’utiliser pour votre prospérité, diriger une entreprise, travailler, communiquer ou collaborer à la vitesse de l’éclair.

Sans parler des connexions avec les autres, et de la richesse des connaissances qui sont désormais à portée de main.

Nous pouvons faire n’importe quoi, presque n’importe où.

Mais…

…mais les outils que nous utilisons peuvent consommer notre vie si nous n’y prenons pas garde.

Lorsque notre vie professionnelle est envahie d’écrans, nous avons paradoxalement souvent besoin de nous éloigner de ces mêmes écrans pour faire notre meilleur travail !

Pour être créatifs.

Se relier.

Et même pour être plus présent pour ceux qui nous sont chers.

Votre vie n’est pas limitée à un écran. Explorez le monde qui vous entoure.

La présence constante d’un téléphone ou d’un ordinateur portable entraîne aussi un manque de temps de réflexion :

  • pour travailler mentalement
  • élaborer des stratégies et réfléchir à son travail.

Faites donc le vœu de vous accorder un peu d’espace pour améliorer vos performances.

Déconnectez-vous.

Ne soyez plus l’esclave de votre écran !

Si vous en avez le temps, examinez votre journée et :

  1. Prévoyez une pause dans votre journée de travail pendant laquelle vous ne regarderez pas d’écran ou de téléphone. Et faites une promenade
  2. Examinez vos tâches, et déterminez si elles doivent toutes être effectuées sur un ordinateur (où vous attention se dispersera ou vous procrastinerez), ou si le bon vieux papier et le stylo sont tout ce dont vous avez besoin pour vous concentrer plus efficacement sur votre tâche en cours
  3. Accordez une pause à vos yeux et à votre cerveau. Faites le vide dans votre esprit, et concentrez-vous. Réfléchissez

Si vous n’avez pas besoin d’utiliser un écran, ne vous précipitez pas toujours dessus.

Ce week-end, ou le prochain, prenez le temps de vous éloigner :

  • prenez le livre que vous vouliez lire
  • passez du temps de qualité avec vos proches
  • ou sortez simplement pour vous immerger dans la nature.

Établissez une relation saine avec la technologie :

utilisez-la comme un outil,

mais ne la laissez pas vous utiliser.

Débranchez pour respirer.

Votre écran n’a pas besoin d’air frais, vous si !

Votre esprit, votre corps et la qualité de votre travail vous en remercieront.

To detox or not to detox : je brise les idées reçues sur la déconnexion numérique.

Sommes-nous tous accros aux écrans et aux réseaux sociaux ?

La question est complexe, et ma réponse n’est pas binaire.

D’un côté, il est indéniable que l’usage des technologies numériques a explosé ces dernières années.

De l’autre, les effets de cette hyperconnexion sur notre santé mentale et physique font l’objet de nombreux débats et d’études scientifiques parfois contradictoires (je vous mets en notes, à la fin de l’article, les références).

Détox numérique : miracle ou mirage ?

Faut-il vous lancer tête baissée dans une « digital détox » pour améliorer votre bien-être ?

Là encore, ma réponse n’est pas universelle.

Si l’idée de se déconnecter temporairement des écrans peut sembler séduisante, il est important de comprendre que les effets d’une telle démarche varient grandement d’une personne à l’autre.

Pourquoi les études scientifiques sur la déconnexion numérique ne parviennent-elles pas à un consensus clair ?

D’abord, parce que la notion d’écran est trop vague. Un film inspirant n’aura pas le même impact qu’une session de scrolling frénétique sur les réseaux sociaux.

De plus, chaque individu est unique et réagit différemment à l’usage des technologies. Ce qui est bénéfique pour l’un peut être néfaste pour l’autre.

Méfions-nous des moyennes !

C’est un principe fondamental à garder à l’esprit lorsqu’on s’intéresse aux effets de la technologie sur le bien-être. En effet, les études scientifiques analysent souvent des données groupées, ce qui peut masquer des réalités individuelles très différentes.

Alors, que faire ?

Plutôt que de se focaliser sur des solutions miracles comme la « digital détox », il est important que vous adoptiez une approche individualisée et réfléchie.

Devez-vous vraiment vous déconnecter

pour vous reconnecter ?

Voici 6 pistes pour vous aider à y voir plus clair :

  1. Prenez conscience de vos usages. Observez votre comportement face aux écrans. Quels contenus consommez-vous ? Quel temps passez-vous sur chaque plateforme ? Ressentez-vous une dépendance ou un sentiment de bien-être après une utilisation prolongée ?
  2. Identifiez vos besoins. Qu’est-ce que vous recherchez en vous déconnectant ? Est-ce pour réduire votre stress, améliorer votre sommeil, ou simplement vous reconnecter à votre entourage ?
  3. Définissez des objectifs clairs et réalistes. Fixez-vous des limites de temps d’écran ou planifiez des périodes de déconnexion régulières. Commencez par de petits pas et augmentez progressivement la durée de vos pauses numériques.
  4. Explorez des alternatives. Il existe de nombreuses façons de se détendre et de se reconnecter à soi-même sans nécessairement se couper du monde numérique. La lecture, la méditation, le sport ou encore les activités en plein air peuvent être des alternatives bénéfiques.
  5. Soyez patient, et à l’écoute de vous-même. Changer ses habitudes prend du temps. N’hésitez pas à ajuster votre approche en fonction de vos ressentis et des résultats observés.
  6. N’oubliez pas : la technologie est un outil puissant qui peut être utilisé à bon ou à mauvais escient. La clé réside dans une utilisation responsable et consciente, adaptée à vos besoins et à votre personnalité.

Dites-moi ce que vous pensez de mes 6 conseils.

Ma conclusion : il n’y a pas de réponse universelle à la question de la « digital détox ».

Si l’absence d’écran vous cause un manque, voire une souffrance, vous êtes accro. L’important est de trouver un équilibre sain et personnel entre le temps passé en ligne et le reste de votre vie.

Et si la meilleure « digital detox » était celle que vous inventez ?

Soyez acteur de votre bien-être numérique.

N.B.:

https://prod3.jmir.org/2023/1/e44922

https://www.elle.fr/Loisirs/Sorties/hotels/Quels-hotels-digital-detox-pour-vraiment-decrocher

https://link.springer.com/article/10.1007/s41347-020-00189-w

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352853221000286?via%3Dihub

https://journals.sagepub.com/doi/pdf/10.1177/20501579211028647

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/03/23/les-patrons-de-la-tech-qui-ne-mettent-pas-leurs-enfants-devant-des-ecrans-une-legende-urbaine_6223674_4408996.html

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Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

Lorsque j’aborde la dépendance ou l’addiction d’un(e) de mes client(e)s, j’entre dans son territoire complexe et profondément humain.

Les croyances, valeurs, pensées, émotions et comportements qui sont derrière vos addictions sont souvent tissés dans les fils de votre histoire personnelle, de vos expériences et de vos relations.

-> Voici ce dont j’ai mis l’accent la semaine dernière au cabinet, avec des client(e)s souffrant de boulimie alimentaire, de porno-addiction, de paris sportifs, etc.

1. Croyances et réussite thérapeutique :

  • Croyances limitantes : chacun de nous porte des croyances profondes sur soi-même et sur le monde. Certaines de vos croyances peuvent renforcer l’addiction. Par exemple, “Je ne peux pas gérer le stress sans fumer” ou “Je ne mérite pas d’être heureux”. Est-ce votre cas ?
  • Réussite thérapeutique : la prise de conscience de ces croyances est essentielle pour la réussite thérapeutique. En remplaçant les croyances limitantes par des croyances positives, vous ouvrez la voie à votre guérison.

2. Stratégies favorisant l’addiction :

  • Évitement : votre addiction peut servir de moyen d’échapper à vos émotions difficiles ou à vos situations inconfortables. La drogue, la nourriture ou d’autres comportements addictifs deviennent alors des stratégies pour éviter la douleur.
  • Renforcement : les comportements addictifs sont souvent renforcés par des récompenses immédiates, même si elles ont des conséquences négatives à long terme. Est-ce que vous vous en êtes aperçu ?

3. L’addiction comme tentative d’auto-guérison :

  • Comprendre la douleur : votre addiction peut être vue comme une tentative désespérée de soulager une douleur intérieure. Elle peut être un moyen de combler votre vide émotionnel, de calmer une anxiété profonde, de sortir de l’ennui, etc.
  • Écouter vos besoins : en explorant vos besoins profonds grâce à l’hypnose, votre inconscient trouvera des moyens plus sains de les satisfaire. Par exemple, chercher des connexions sociales, des moyens de gérer le stress ou des activités créatives, etc.

4. La transe de l’addiction :

  • État altéré de conscience : l’addiction crée une transe dissociative hypnotique, où vous êtes contrôlé par votre compulsion (craving). Où vous ne voyez pas le temps passé, vous oubliez où vous êtes.
  • Sortie de transe : après la compulsion de l’addiction, vous revenez à vous-même, et vous ressentez du dégoût, de la colère, de la culpabilité, etc.

5. Émotions non gérées :

  • Émotions refoulées : vous avez du mal à gérer vos émotions, et donc elles sont enfouies profondément. Votre addiction sert alors de moyen d’échapper à ces émotions parfois intenses.
  • Apprendre à ressentir : apprenez à ressentir et à exprimer vos émotions. C’est un premier pas vers votre guérison.

6. Codépendance :

  • Relations dysfonctionnelles : la codépendance se produit lorsque vos relations sont basées sur des besoins non satisfaits et des schémas de comportement malsains (triangle de Karpman).
  • Sortir du schéma : identifiez vos schémas. Travaillez à établir des relations plus saines est crucial pour vous en sortir.

En fin de compte, la guérison de votre addiction est un voyage individuel.

Il nécessite du courage, de la compassion envers soi-même, et un soutien psy. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez lutte contre une dépendance, cette personne est en grande souffrance. N’hésitez donc pas à chercher de l’aide.

Car vous n’êtes pas seul.

Il y a toujours de l’espoir pour votre avenir : 

libre et épanouissant 🙂

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Si votre « mois de janvier sec » s’est transformé en mois de février arrosé, pas de chance !

Pour la prochaine fois, le régime cétogène pourrait vous aider.

En effet, une petite étude a montré que les envies d’alcool diminuaient de manière importante chez 33 personnes soumises à une alimentation cétogène, par rapport au groupe témoin.

De nombreuses expériences plus anciennes ont démontré que cette façon de s’alimenter réduisait fortement la consommation d’alcool chez les souris.

Et supprimait les symptômes de sevrage de l’alcool chez les souris ET les humains.

Vous avez peut-être entendu parler du « régime cétogène » (ou « kéto ») ?

C’est une manière de manger qui vise à diminuer les troubles du métabolisme, à perdre du poids, guérir du diabète 2, etc.

Le principe de cette alimentation est de réduire au maximum les glucides (sucres et amidons) dans votre assiette : moins de 50 grammes par jour. En faisant cela, votre corps puisera dans vos réserves de graisse pour produire de l’énergie, ce qui peut aussi vous aider à mincir. Avant de vous lancer, faites vos recherches, et consulter un médecin.

Alors, quand allez-vous essayer ?

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-> Les séances se font en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, etc.) ou à mon cabinet toulousain, ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ».
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Je vous donne ces 7 conseils, fruits de mon expérience à mon cabinet;

Oui, vous pouvez guérir de votre addiction.

Même si elle dure depuis des années. Même si vous en souffrez en silence.

Exemple de guérison ? Celle de l’actrice-chanteuse Demi Lovato.

Artiste adulée, elle a partagé son combat contre la boulimie. Inspirant ainsi des millions de personnes à briser le silence et à cheminer vers la guérison.

Son parcours, illustré par des photos avant / après saisissantes, avec un message d’espoir, montre que la victoire sur la boulimie alimentaire (TCA) est possible.

La psychothérapie s’avère un outil crucial pour vaincre l’addiction. En s’attaquant aux racines profondes du problème, elle offre une transformation durable et complète.

Une cliente guérie m’a dit, récemment, « j’ai fait la paix avec moi-même ».

Voici 7 clés pour vous en sortir :

1. Comprenez les mécanismes de votre addiction

Explorez les ressorts psychologiques qui vous poussent à manger compulsivement. Par exemple, identifiez les émotions difficiles que vous tentez de combler par la nourriture : solitude, ennui, peur, rejet, abandon, etc.

2. Développez une relation saine avec la nourriture

Apprenez à écouter les signaux de faim, et de satiété, de votre corps. Découvrez le plaisir de manger en pleine conscience, sans culpabilité, ni jugement.

3. Apprenez à gérer vos émotions difficiles

Connaissez des outils pour gérer votre stress, votre anxiété, votre tristesse, etc. de manière saine et constructive. Développez des stratégies alternatives à la boulimie (et/ou l’hyperphagie) pour une bonne santé durable.

4. Améliorez votre estime de soi

Renforcez votre confiance en soi et une juste et bonne image corporelle. Apprenez à vous aimer et à vous respecter, au-delà des diktats de la société. Sachez dire non !

5. Développez des relations saines

Entourez-vous d’un réseau de soutien positif et bienveillant. Découvrez comment communiquer ouvertement sur vos ressentis et vos besoins.

6. Apprenez à gérer les rechutes

Comprenez que les rechutes font partie du processus de guérison. Mettez en place des stratégies pour les prévenir. Et les gérer de manière constructive.

7. Fixez-vous des objectifs réalistes

Je vous aiderai aussi comment avoir des objectifs clairs et atteignables pour votre guérison. Vous célèbrerez chaque victoire, si petite soit-elle.

N’oubliez pas, vous n’êtes pas seul(e) !

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Version courte de mon article 😉

-> Ce trouble du comportement alimentaire est un défi complexe, et la guérison est possible. En vous engageant dans une psychothérapie sérieuse, avec un psy compétent, en vous appuyant sur un réseau de soutien solide, vous retrouverez une relation saine avec la nourriture, et vous vous sentirez plus heureux.

N’attendez plus, franchissez le pas vers la liberté et le bien-être !

Voici d’autres informations complémentaires :

  • Le documentaire « Simply Complicated » de Demi Lovato est disponible sur YouTube
  • Ligne d’écoute téléphonique nationale pour les troubles alimentaires : 0 800 05 05 01

N’hésitez pas à partager ce message avec toute personne concernée par l’addiction alimentaire.

Ensemble, brisons le silence de cette maladie, et ouvrons la voie vers la guérison !

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Je vous parle du pouvoir des questions bien posées.

La question que vous vous posez

détermine en grande partie la réponse que vous aurez.

-> « Pourquoi n’ai-je pas réussi à … ? « 

Vous obtiendrez des réponses pesantes, qui vous réprimanderont.

ou

->  » Comment puis-je réussir à … ? « 

Vous obtiendrez des réponses qui constructives,

qui vous pousseront à aller de l’avant.

Posez-vous délibérément les questions qui vous portent, qui vous intéressent !

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L’addiction sexuelle est un trouble qui se caractérise

  1. par une perte de contrôle
  2. et une poursuite compulsive de comportements sexuels.

Malgré les nombreuses et douloureuses conséquences négatives pour vous-même, ou les autres.

Il s’agit d’une forme de dépendance qui affecte votre santé physique, mentale, émotionnelle, relationnelle et sociale, si vous en souffrez.

Voici les quatre étapes qui se répètent et s’intensifient au fil du temps : l’obsession, la ritualisation, la compulsivité et le désespoir.

Comprendre ces quatre phases peut vous aider à identifier le problème et à chercher de l’aide.

  • L’obsession

L’obsession est la première phase de l’addiction sexuelle. Il s’agit d’un état de préoccupation constante et envahissante pour le sexe, qui vous empêche de vous concentrer sur d’autres aspects de votre vie. L’obsession peut être déclenchée par des stimuli internes (des pensées, des fantasmes, des émotions) ou externes (des images, des situations, des personnes). Vous ressentez alors une forte tension, une anxiété qui ne peuvent être soulagées que par le passage à l’acte sexuel.

  • La ritualisation

Il s’agit d’un ensemble de comportements et de routines qui préparent et facilitent le passage à l’acte sexuel. La ritualisation peut inclure des activités comme la recherche de partenaires, la consommation de substances, le visionnage de pornographie, la masturbation, etc. Elle renforce votre sentiment de contrôle et de plaisir, qui vous coupe de la réalité et de vos émotions négatives.

  • La compulsivité (craving)

Il s’agit du passage à l’acte sexuel proprement dit, qui peut prendre différentes formes : rapports sexuels, infidélités, prostitution, exhibitionnisme, voyeurisme, cybersexe, etc. La compulsivité est motivée par un besoin irrépressible et irréfléchi de soulager la tension accumulée lors de l’obsession et de la ritualisation. Vous n’avez pas de plaisir réel, mais plutôt un soulagement temporaire. Et une fuite de la souffrance.

  • Le désespoir

Il s’agit d’un état de honte, de culpabilité, de dégoût, de dépression et de solitude que vous ressentez, qui suit le passage à l’acte. Vous prenez conscience des conséquences négatives de votre comportement sur votre santé, votre estime de soi, vos relations, votre travail, etc. Vous vous sentez impuissant et prisonnier de son votre addiction. Vous pouvez avoir des pensées suicidaires ou des envies de sevrage, mais vous retombez rapidement dans le cycle de votre addiction…

Si vous vous reconnaissez dans ces phases, sachez que vous n’êtes pas seul et que vous pouvez vous en sortir.

L’addiction sexuelle est un trouble qui se soigne, avec l’aide d’un professionnel qualifié et d’un soutien adapté.

Il existe des thérapies individuelles, en hypnose profonde :

– qui visent à comprendre les causes profondes de votre addiction

– à modifier vos croyances et comportements dysfonctionnels

– à développer des compétences émotionnelles et relationnelles

– à retrouver un équilibre et un bien-être dans votre vie sexuelle.

Dans mon blog, vous trouverez également des articles, des vidéos, des témoignages et des ressources sur l’addiction sexuelle.

N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions, ou si vous voulez discuter d’autre chose. Je suis là pour vous écouter et vous aider. 😊

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Dans un article récent, je vous parlais de ma 1ʳᵉ erreur :

1- Ne pas avoir tenu compte de l’index glycémique (IG).

Ma seconde erreur fut d’ignorer la charge glycémique :

2- La charge glycémique (CG) : un outil pourtant important

Si l’index glycémique renseigne sur la quantité des glucides, la charge glycémique est une notion qui prend en compte un autre paramètre important : la quantité de glucides ingérés.

Elle s’obtient en multipliant l’IG d’un aliment par la quantité de glucides d’une portion de cet aliment, puis en divisant par 100. Une charge glycémique inférieure ou égale à 10 est considérée comme basse. Comprise entre 10 et 19 elle est dite modérée.

Supérieure ou égale à 20, la CG est élevée.

Exemples :
Une portion de cornflakes (30 g)🥣, aliment dont l’IG est de 82, contient 25 g de glucides (donc de sucre). La charge glycémique est de (25 x 82)/100, soit 20,5 ;

Une assiette de carottes cuites🥕 (175 g), légume dont l’IG est de 47, contient 9,6 g de glucides. La charge glycémique est de (9,6 x 47)/100, soit 4,5.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, index glycémique, IG, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage.jpg10 règles pour manger IG bas ci-dessous :

🔰 Du pain et des céréales à IG bas ou modéré (< à 55)
🔰1 fruit et 2 légumes par jour
🔰 Des légumes secs deux fois par semaine
🔰 Des noix et des oléagineux secs (noisettes, amandes…) chaque jour
🔰 Du poisson deux à trois fois par semaine
🔰 De la viande, des œufs deux à quatre fois par semaine
🔰 Des laitages avec modération
🔰 Du beurre, du ghee, de l’huile de noix de coco et d’olive pour l’assaisonnement et la cuisine, de préférence portant la mention « première pression à froid »

🔰 Une meilleure écoute de vos signaux de satiété
🔰 Du plaisir et de la bonne humeur

Bonus : évitez les huiles de graines (tournesol, colza, etc), trop riches en oméga 6, et dont les plantations détruisent la planète (champs immenses, à perte de vue).

C’est votre bonne santé qui est en jeu.

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Première erreur : ignorer l’index glycémique…

1- L’index glycémique (IG) est un indice propre à chaque aliment.

Il permet de classer les glucides en fonction de leur capacité à élever la glycémie (c’est-à-dire le taux de sucre dans le sang).

Pourquoi l’utiliser, me direz-vous ?

Plus un aliment a un index glycémique élevé, plus il fait monter le taux de sucre dans le sang et plus de l’insuline sera libérée.

Résultats : coups de pompes, fringales et stockage de graisses.

Mais pas seulement !

Parce que, à moyen terme, la consommation d’aliments à IG élevé peut conduire à une forme de résistance à l’insuline. Cette « résistance » se traduit par un trop-plein de sucre dans le sang et provoque l’obésité, l’hypertension, le diabète de type 2, et pire.

Bref, toutes les maladies du métabolisme.

En explosion depuis les années 70.

A contrario, manger à IG bas permet d’éviter les pics de glycémie.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, index glycémique, IG, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignageEt ainsi se débarrasser des coups de fatigue post-repas, des kilos superflus et des risques de résistance à l’insuline.

  • 🍐 Les aliments à IG bas (< à 55)
    Pâtes et nouilles al dente, lentilles, pommes, poires, oranges, raisins, yaourt nature, haricots blancs, chocolat noir, fructose (sucre des fruits)…
  • 🍌 Les aliments à IG modéré (entre 55 et 70)
    Riz basmati, banane bien mûre, pain de mie multicéréales, ananas, pâtes bien cuites, sucre blanc (saccharose)…
  • 🥔 Les aliments à IG élevé (> à 70)
    Pain (blanc ou complet), pommes de terre bouillies, cornflakes et la plupart des céréales du petit déjeuner, pommes de terre en purée, riz blanc cuisson rapide, riz brun cuit dans un excès d’eau, maïzena, glucose…

C’est votre bonne santé qui est en jeu.

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Je vous donne rdv le 11 octobre 2053

Moi, je serai là. A 88 ans.

« Bon pied, bon oeil »

Et vous ?

Savez-vous comment profiter de la meilleure assurance-vie ?

Comment veillir bien ?

En bonne santé ?

Moi-même et ma femme avons une solution :

nous sommes en alimentation keto depuis 2018

Et vous ?

Quand allez-vous diminuer, enlevez, vos sucres (et autres glucides, aliments ultra-transformés) de votre assiette ?

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage

Des vidéos de témoignages :

https://www.linkedin.com/posts/ulrichgenisson_keto-caeztogaeyne-keto-activity-7117621520520118273-LY_H?utm_source=share&utm_medium=member_desktop

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