Vaincre votre peur des piqûres, oui, c’est possible !

F. Duval-Levesque,psychopraticien,hypnose,coach,mal-être,anxiété,angoisse,addiction,traumatisme,peur,tabac,phobie,souffrance,stress,burnout,PNL,téléséance,téléconsultation,avis,témoignagpeur,prisesang,injectionPensez à la dernière fois où vous avez eu vraiment peur – je veux dire, où vous avez ressenti de la terreur : sueurs froides, tremblements, cœur qui bat à tout rompre.

Maintenant, pensez à ce que ce serait de vivre cela à la seule vue d’une aiguille ou simplement en entendant quelqu’un parler des vaccins contre le Covid-19.

Cette réalité concerne environ une personne sur dix. Elle n’est pas à négliger dans les campagnes de vaccination :

  1. Premièrement, lorsque quelque chose nous rend très anxieux, on a tendance à l’éviter ou à le retarder.
  2. Deuxièmement, éprouver une grande peur et une réaction au stress peut conduire à un comportement de fuite (qui fait qu’on s’éloigne ou qu’on agit de manière agressive), à vivre une grande détresse au moment de la procédure et à avoir des symptômes de réactions au stress de la vaccination, comme des étourdissements ou un évanouissement.
  3. Troisièmement, la peur de l’aiguille peut, à son tour, être accrue par le fait d’avoir déjà vécu une réaction au stress de la vaccination ou d’avoir entendu parler d’autres personnes qui l’ont vécue.

Ce qu’il faut savoir, c’est que ces réactions ne résultent pas d’un défaut du vaccin. En fait, elles peuvent survenir avant, pendant et après l’injection en raison du stress ressenti.

Un certain degré de crainte des aiguilles est courant et se manifeste chez la plupart des enfants, jusqu’à la moitié des adolescents et de 20 à 30% des personnes âgées de 20 à 40 ans.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe quatre techniques fondées sur des données scientifiques pour régler le problème.

1 – Premièrement, l’hypnose à mon cabinet en une ou deux séance.

Ensuite, ce qui suit.

2 – Le système « confort, aide, relaxation et distraction » (CARD) peut aider les parents, et vous-mêmes à rendre l’expérience de la vaccination aussi agréable que possible.

  • Que porterez-vous pour qu’il soit facile d’accéder à vos bras ?

  • Que ferez-vous en attendant à la clinique (lire, écouter de la musique, jouer à un jeu vidéo) ?

  • Devriez-vous acheter un anesthésique local pour engourdir votre peau au site d’injection ?

  • Comment voulez-vous que le clinicien signale qu’il commence, par exemple, en disant « Un, deux, trois, on y va »?

  • Décidez si vous voulez regarder ou non pendant l’injection, et dites au clinicien ce que vous voulez.

  • Pendant qu’on vous pique, voulez-vous parler d’autre chose, jouer sur votre téléphone ou écouter une imagerie guidée ?

  • Par la suite, comment allez-vous vous récompenser et vous souvenir de ce qui vous a aidé ? Vous pourriez filmer une courte vidéo où vous décrivez ce qui s’est bien passé pour vous aider la prochaine fois.

3 – La thérapie par exposition peut se faire en situation réelle, ou en imaginant la situation redoutée.

  • Tout d’abord, on demande à la personne de dresser une liste de toutes les situations et de tous les aspects de la piqûre qui lui font peur : est-ce le fait de voir du sang ? De sentir l’aiguille pénétrer dans son corps ? La douleur ? L’étourdissement ? Autre chose ?
  • Ensuite, la personne évalue sa peur pour chaque situation et crée une échelle de la peur qui commence par la situation la moins redoutée (par exemple, regarder des images d’aiguilles) et avance par petits paliers vers la plus redoutée (par exemple, l’injection d’un vaccin). Le patient répète chaque étape jusqu’à ce que sa peur diminue avant de passer à la suivante.
  • Certaines personnes se sentent étourdies ou s’évanouissent quand on leur fait des piqûres. Ce phénomène est plus fréquent chez les gens qui ont un niveau de peur élevé. Une technique appelée contraction musculaire, qui consiste à contracter et à relâcher les muscles, peut aider à éviter la chute soudaine de tension artérielle qui entraîne des étourdissements et des évanouissements.

Bonus : vous pouvez imaginer la motivation et le courage nécessaires pour affronter ses peurs, ce qui a une incidence sur l’acceptation du traitement.

4 – J’utilise aussi d’autres traitements prometteurs, comme l’intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires (EMDR), à mon cabinet toulousain ou en visio.

 

 

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

Le sevrage des antidépresseurs (Deroxat et Effexor notamment) parfois difficile…
Dans un article repris par plusieurs grands journaux anglophones, l’Associated Press rapporte des cas d’incapacité de cesser des antidépresseurs en raison des symptômes amenés par le sevrage, et ce même en diminuant graduellement la dose.

Deux des antidépresseurs qui se vendent le plus, l’Effexor et le Deroxat (aussi commercialisé sous les noms Paxil et Seroxat) ont amené tant de plaintes que certains médecins, rapporte l’Associated Press, évitent de les prescrire.

Depuis les deux décennies environ de l’existence du Prozac, le premier antidépresseur de la catégorie « inhibiteur de la recapture de la sérotonine », certains patients ont rapporté des réactions extrêmes à l’arrêt de cette catégorie d’antidépresseurs.

Les gens rapportent une variété de symptômes, apparaissant parfois quelques heures seulement après l’arrêt. Ils peuvent souffrir de nausées, de douleurs musculaires, de pleurs incrontrôlables, d’étourdissements et de diarrhées. Certaines personnes rapportent des sensations « électriques » au cerveau.

Certains cas ont été rapportés de gens se présentant aux urgences des hôpitaux, inquiets de ces symptômes inconnus…

Le phénomène du sevrage des antidépresseurs est peu étudié. Des recherches ont avancé des taux allant de 17% à 78% pour les marques les plus problématiques.

Les symptômes de sevrage peuvent être reliés au fait, par exemple, que la sérotonine qui est affectée par les antidépresseurs n’agit pas seulement sur l’humeur mais aussi sur le sommeil, l’équilibre, la digestion et d’autres processus physiologiques.

« Généralement, précise Dr. Richard C. Shelton, psychiatre à l’école de médecine de l’Université Vanderbilt, les médicaments qui sont métabolisés le plus rapidement causent les symptômes les plus sévères. L’Effexor, qui est métabolisé dans quelques heures, est un des pires à cet égard; tandis que le Prozac, qui a une demie-vie d’environ une semaine, est considéré comme étant le mieux. »

Afin de réduire les symptômes de sevrage de l’Effexor et du Deroxat (Paxil, Seroxat), ces derniers sont parfois graduellement remplacés par le Prozac dont le sevrage se fait ensuite plus facilement.

Les critiques des compagnies pharmaceutiques leurs reprochent de minimiser la sévérité des symptômes de sevrage. Les informations fournies aux médecins précisent que les patients peuvent parfois présenter des symptômes légers (« mild ») à l’arrêt du médicament mais laissent entendre que la cessation graduelle prévient ce problème.

De l’avis de certains psychiatres, il n’est pas difficile d’arrêter les antidépresseurs. « La vaste majorité des gens ne sont pas aussi sensibles » affirme Alan Schatzberg, responsable du département de psychiatrie de l’école de médecine de l’Université Stanford University.

En décembre 2004 pourtant, l’agence de contrôle des médicaments britannique a émis un rapport avertissant que tous les antidépresseurs IRS peuvent être associés à des symptômes de sevrage et notant que l’Effexor et le Deroxat semblent associés à une plus grande fréquence de réactions de sevrage.

Sources : psychomedia.qc.ca, CNN

 

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Vous devez le savoir. Plusieurs grands journaux anglophones le disent : il est très difficile d’arrêter les antidépresseurs en raison des symptômes amenés par le sevrage. Même en diminuant petit à petit la dose.

Deux des antidépresseurs qui se vendent le plus, l’Effexor et le Paxil, ont amené tant de plaintes que certains médecins évitent de les prescrire.

Depuis vingt ans qu’existe le Prozac (le premier antidépresseur de la catégorie « inhibiteur de la re-capture de la sérotonine), certains patients ont rapporté des réactions extrêmes à l’arrêt de cette catégorie d’antidépresseurs.

Les gens rapportent une variété de symptômes, apparaissant parfois quelques heures seulement après l’arrêt.

Exemples : nausées, douleurs musculaires, pleurs incontrôlables, étourdissements et diarrhées. Certains dépressifs rapportent des sensations « électriques » au cerveau. Des cas ont été rapportés de patients se présentant aux urgences des hôpitaux, inquiets de ces symptômes inconnus.

ProzacLe phénomène du sevrage des antidépresseurs est peu étudié.

Des recherches ont avancé des taux allant de 17% à 78% pour les marques les plus problématiques.

Les symptômes de sevrage peuvent être reliés au fait, par exemple, que la sérotonine qui est affectée par les antidépresseurs n’agit pas seulement sur l’humeur mais aussi sur le sommeil, l’équilibre, la digestion et d’autres processus physiologiques.

« Généralement, précise Dr. Richard C. Shelton, psychiatre à l’école de médecine de l’Université Vanderbilt, les médicaments qui sont métabolisés le plus rapidement causent les symptômes les plus sévères. L’Effexor, qui est métabolisé en quelques heures, est un des pires à cet égard; tandis que le Prozac, qui a une demie-vie d’environ une semaine, est considéré comme étant le mieux. »

Afin de réduire les symptômes de sevrage de l’Effexor et du Paxil, ces derniers sont parfois graduellement remplacés par le Prozac dont le sevrage se fait ensuite plus facilement.

Les informations fournies aux médecins, par les laboratoires pharmaceutiques, précisent que les patients peuvent parfois présenter des symptômes légers à l’arrêt du médicament. Mais laissent entendre que la cessation graduelle prévient ce problème.

De l’avis de certains psychiatres, il n’est pas difficile d’arrêter les antidépresseurs. « La vaste majorité des gens ne sont pas aussi sensibles » affirme Alan Schatzberg, responsable du département de psychiatrie de l’école de médecine de l’Université Stanford University.

En décembre 2004 pourtant, l’agence de contrôle des médicaments britannique a émis un rapport avertissant que tous les antidépresseurs IRS peuvent être associés à des symptômes de sevrage et notant que l’Effexor et le Paxil semblent associés à une plus grande fréquence de réactions de sevrage.

Et rappelez-vous, Cher Lecteur, que prendre un anti-dépresseur, sans suivre une psychothérapie comportementale et cognitive, est comme utiliser une béquille toute votre vie…

Source : Associated Press, mon expérience professionnelle de thérapeute

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