5 bonnes questions:
- La personne promet-elle la résolution de tous les problèmes rencontrés grâce à une méthode « novatrice et révolutionnaire » ?
- La personne qualifie-t-elle mon enfant de «spécial» ou d’«exceptionnel» ?
- La personne critique-t-elle ce qu’elle nomme la «médecine conventionnelle» et le recours aux médicaments ?
- La personne critique-t-elle ma famille, mes amis ou encore les services de l’État en charge de la santé ?
- La personne me propose-t-elle à moi, ou à d’autres membres de la famille, de suivre également une thérapie avec elle ?
5 bonnes réactions:
- Se méfier des solutions «miracle», souvent coûteuses, et/ou impliquant des séances nombreuses et rapprochées.
- Être attentif à tout changement important de comportement de l’enfant ou d’un proche.
- Ne pas s’isoler, ni isoler l’enfant dans une relation exclusive avec le «praticien ».
- En parler autour de soi et auprès des pédiatres, médecins, et autres professionnels de santé.
- En cas de doute, ne pas attendre qu’il soit trop tard pour interroger la Miviludes (derives-sectes.gouv.fr ou miviludes@pm.gouv.fr)
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